Ecrit

Bon voila je crée ce topic parce que je pense que tout le monde à reçut des écrit alors partageons les ensembles si vous le voulez bien, j'en ai 2 car j'ai volé la caisse de colombia sans que personne ne me voit

Spoiler:

Faite de la mise en page histoire que ce soit bien fait.

Ecrit N.1

Journal de Pierre Ignacio Tavarez.


Voici les mémoires du grand Pierre Ignacio Tavarez. Puissent-elles servir d'exemple aux générations futures !
3 septembre : Je peux le dire sans me vanter, je
suis un baroudeur. J'ai déjà été dans de nombreuses villes, et grâce à
mes talents naturels, elles ont vraiment prospéré !
Je viens de me réfugier dans une nouvelle ville, visiblement ces gens
ne savent pas y faire... J'en vois déjà en train de voler des planches
dans l'entrepôt qui nous sert de banque, afin de les garder pour eux. Je
vais vite crier au et fort au bannissement, afin de faire un exemple.


4 septembre : rien ne va ! Certains ont commencé à
vouloir construire une pompe pour avoir plus d'eau. Après avoir fait un
peu de porte-à-porte (ou plutôt, tente-à-tente) et rassemblé de bonnes
volontés, nous les avons bannis, afin de rappeler les règles
essentielles.


5 septembre : encore une journée laborieuse en
perspective : je suis allé faire un tour dans le désert aujourd'hui, je
rentre ce soir, et je constate qu'il ont commencé à construire un
nouveau bâtiment. J'ignore ce qu'ils veulent en faire, ces amateurs sont
vraiment touchants. Mais ce n'est pas cette construction qui va nous
défendre contre les zombies à mon avis, surtout quand on voit leur façon
de faire des nœuds.

6 septembre : ci-gît Pierre Ignacio Tavarez., le nœud qui l'a pendu a été plus coulant que lui.






Écrit N.2:

Note pour les prochains Promeneurs.

Octail, Pantocrat et Zoby sont passés ici. Cette zone ne contient plus rien d'utile. Attention aux zombies cachés sous le sable. Danger de mort.

-c'est bon, j'ai fait le ménage !!
half

héhéhé parfait ce journal de bord ^^

Lettre pour Nelly


Nelly, je t'écris cette lettre parceque je peux plus vivre dans ma ville.
Toute la ville est privée d'électricité depuis plusieurs jours,
Internet ne passe plus, les lignes téléphoniques sont coupées et il y a
plus de réseau. Mais surtout, il se passe des trucs pas nets? Certaines
routes sont coupées par d'immenses rochers sortis de nulle part.
Et hier, j'ai vu un homme, enfin je suis pas sur que c'était un
homme, c'était une créature bizarre cachée sous un vieux drap qui
fouillait les poubelles. Ca avançait en boitant et ça s'est dirigé vers
l'appartement de la folle qui habite deux immeubles plus loin. On l'a
retrouvée déchiquetée ce matin. J'ai du aller poster cette lettre dans
la ville a coté. Je te l'envoie juste pour te prévenir de mon arrivée.
A l'heure ou tu la lis, je suis déjà en route.

J'ai eu pas mal d'écrit a noël et au nouvel an et j'ai faillit en avoir un autre aujourd'hui mais je l'avait déjà, rhaa si seulement j'avais pu trouver un zombie pour me défouler, enfin :

écrit 1ANNONCE PUBLIQUE

Le gardien de la banque vous informe qu'il n'accepte plus les tickets de rationnement. Quelques faussaires amateurs ont crus bon de profiter de sa myopie en copiant des tickets à la main.



écrit 2 STÉROÏDES POUR CHEVAUX
Visa et n° d'exploitation : M0T10NTW1N - 93847
Composition chimique : Cholestérol, Testostérone, divers autres produits plus ou moins dangereux dont vous ne voulez pas connaître le nom.
Effets secondaires indésirables : Hypertension, arythmie, lésions du foie, tumeurs cérébrales, crise cardiaque, chute des poils et mort subite.
Date de péremption : voir dos de la boîte.
Mises en garde : La consommation de stéroïdes pour chevaux chez l'homme peut entraîner une dépendance immédiate. Ne pas ingérer. Pour plus d'informations sur les méthodes d'administration, reportez-vous au fascicule proposé en pharmacie. Nous nous déchargeons de toute responsabilité en cas de décès. La liste des effets secondaires citée plus haut ne contient que les informations légales et officielles.



écrit 3Anne,
je n'aurais pas dû m'engager dans la milice. Ils prétendent protéger la ville, mais ce ne sont que des voyous qui profitent de la situation des gens. Hier, nous avons raquetté une vieille dame pour manger son chat. Ensuite, les zombies sont arrivés et ils n'ont rien trouvé de mieux que de leur balancer la vieille dame pour les occuper….

Anne,
nous manquons de tout. Heureusement, le sergent nous a distribué de la viande aujourd'hui. Après les pertes énormes d'hier, j'avais bien besoin de me remplir l'estomac pour me remonter le moral. Je me demande encore où il a pu la trouver cette viande, lui qui dit toujours qu'il faut nous rationner ?

Anne,
quitte la ville au plus tôt. Le sergent vient de nous dire d'évacuer la tranchée, que la horde était bien trop nombreuse pour que nous puissions la retenir. Il était blême. Je ne l'ai jamais vu comme ça. Nous avons rassemblé nos affaires et quand je suis allé trouver le sergent dans sa tente pour lui demander où aller, j'ai entendu un coup de feu. Il s'est tiré une balle dans la tête.



écrit 4Me voilà bien.

Trop confiant dans mes capacités, je me suis éloigné de la ville sans faire attention. Et comme de juste, je me suis retrouvé en compagnie de quelques zombies. Youpi. Heureusement, j'ai réussi à les tuer sans problème, mais hélas pour moi, cela m'a épuisé. Me voici donc comme un idiot, assis sur une moitié de zombie, en train d'écrire l'histoire de ma triste et courte vie. Je l'ai appelé Léon Le zombie. Pas mon histoire.

Je reste optimiste, malgré tout. Peut-être que je mourrais sans souffrir, hein ? Et puis, je devrais apprécier ma chance : je dois être l'un des rares êtres vivants des environs à voir ce magnifique coucher de soleil, insouciant de mon sort. N'est-ce pas Léon ?

Vous ai-je dit que je n'avais pas achevé Léon ? Ah, il s'agite. J'ai beau être assis sur son dos et utiliser sa tête poisseuse comme un repose-pieds, il lui manque peut-être un bras et

tout ce qui se trouve sous son bassin, il continue à s'agiter pour me dévorer. Il est mignon, n'est-ce pas ?

La nuit tombe, et je crois apercevoir d'autres compagnons de jeux approcher. Eh bien, qu'il en soit ainsi ! Sur ce, je vous laisse, j'ai des gens à aller tuer. Et après, peut-être que j'aurai la chance de vous dévorer, qui sait ?



écrit 5Mamie, ca fait 3 jours que tu dors.

J'ai froid et tu ne me réponds pas !

Quand tu te réveilleras, viens me retrouver.

Il y a des gens qui font du bruit quand il est tard le soir. Je vais aller voir s'ils veulent pas jouer au ballon avec moi.

Le dernier me fait frissoné ^^

C'est aussi le premier que j'ai eu à l'époque je ne connaissais personne ce fut sur ma première ville et aussi la meilleur jusqu'à votre rencontre, lors d'une dernière expé pour ma survit en camping. Ce fut une bonne rentrée dans hordes^^

ecrit 1: Le puits se mit à déborder, la joie était au rendez-vous ! C'était un projet dont personne ne pensait qu'il pouvait fonctionner. Il a fallu faire beaucoup d'efforts. Cela faisait maintenant 2 jours que la ville était au travail : Creuser, monter des structures, des trous déviations, préparer des charges explosives, de la tuyauterie. Tout le monde s'y était mis, et personne ne sortit dans le désert, car nous avions besoin de toutes les mains pour ce projet. Ce matin, à 10 :00 précise, les charges ont sauté. Un bruit sourd suivi d'un tremblement terrifiant. Puis, une deuxième explosion, et les déviations jouaient leur rôle : Rapatrier l'eau vers le puits. Ce projet portait le nom de Projet AidEden. Nous ne nous inquiétons plus pour l'eau.. Enfin pour les quelques jours à venir.

Ecrit 2:

retourna lentement.
Le sergent fixait le soldat à sa radio. Il venait de déchiffrer le message en morse : « Etat major à tranchée n°12 : ravitaillement coupé, passage tenu par l'ennemi. Impossible de reprendre le secteur. Tenez position le plus longtemps possible. Dieu vous garde ». Le radio regardait le sergent. De grosses gouttes de sueur coulaient à son front.- « Il faut avertir les autres mon sergent... Nous allons tous mourir. »
Un coup de feu retentit. Le sergent sortit de la tente, le pistolet encore fumant et cria : - « Soldats, tâchez de surveiller vos nerfs. Le radio vient de se suicider. Bon, le ravitaillement va tarder un peu? va falloir compter vos balles maintenant. »


Ecrit 3:
Page 1

Un pauvre petit ouvrier s'est aventuré dehors aujourd'hui, dans l'outre-monde, désert hostile, dangereux, parsemé de pièges vicieux.

Il a suffit d'un rien, une pierre un peu trop imposante pour mon pied fébrile et ce fut la chute.

Après un roulé-boulé dans la poussière j'ai levé la tête, cherché mes compagnons d'expédition. Mais j'étais seul... Enfin... Seul en vie . Partout autour de moi des zombies. Onze. Toute une équipe de foot.

Page 2

La réalité m'a frappé de plein fouet, la panique a empli mon coeur trop fragile, j'ai hurlé, j'ai appelé.

Ils m'ont répondu, m'ont rassuré, ont mis leurs méninges fatiguées à contribution et m'ont finalement envoyé une équipe de sauvetage. La panique a cédé la place à la reconnaissance, à l'émotion. Malgré mon erreur impardonnable ils sont venus, ne m'ont pas abandonné au triste sort qui m'attendait.

Je vous remercie, je vous aime.

Tout est donc fini.

Tout est donc fini.
Est-ce vraiment ainsi qu'un homme doive passer de vie à trépas ? En connaitre le jour exact, la cause ?
Mes deux derniers compagnons d'infortune n'ont plus supporté l'épée de Damoclès au-dessus de leurs têtes.
En pleine journée, le plus jeune n'a pas répondu alors que je
l'invitais à partager le peu de nourriture qu'il nous restait. Il était
allongé sur son lit de camps, digne, les yeux encore ouverts fixant son
plafond éventré la veille au soir. Seule l'écume aux coins des lèvres
nous aura fait comprendre qui avait subtilisé la dose de cyanure
disparue mystérieusement deux jours auparavant.
Le doyen de la ville, un chef respecté et écouté, m'a simplement
serré la main en sortant dans l'Outre-Monde. Incrédule, j'allais lui
proposer ma gourde quand son sourire ainsi que la crosse de son précieux
revolver m'ont fait comprendre qu'il s'agissait d'un « Adieu ». Vingt
minutes après l'avoir perdu de vue, huit détonations se firent entendre.
Puis le silence revint sur ce paysage de désolation.
J'ai passé le reste de ma journée à fixer des planches et des
barbelés, mécaniquement. En vérifiant mes travaux, je me suis rendu
compte que tout était bien solidifié... sauf qu'aucune fixation ne
retenait l'ensemble au sol sableux. Je crois que je me suis mis à rire,
nerveusement.
Ce sont là mes derniers écrits. Mon journal de bord, commencé le jour
où j'avais trouvé refuge dans cette construction de misère, au milieu
de cette communauté se sachant condamnée à l'avance, a disparu la nuit
dernière. Comme présage que notre passage dans ce monde n'est
qu'illusion.
Cette nuit, je ne vais pas me rendre sans combattre. Parce que la vie
est un combat perpétuel et qu'arriver au bout du chemin, on cherche
encore et toujours un échappatoire.
Je regarde une dernière fois à l'horizon. Je dois fermer les Portes.
La mort n'est pas une fin, juste un commencement...



Annonce publique


Nous rappelons aux plaisantins du Bloc E qu'il est formellement
interdit de jeter des zombies dans le puits. La fumée en résultant est
trop proche du signal annonçant l'évacuation d'urgence.